2022, une année de résilience!
Progrès scientifiques et technologiques cependant, la nature s’acharne
sur l’humanité. L’inconscient collectif s’éveille en préparation à de nombreux
défis imminents.
Des éruptions importantes en Islande recouvre l’Europe d’un voile de centre, désorganisation du climat, de l’agriculture et de la circulation aérienne.
Intensification du cycle de l’eau dans tout l’hémisphère Nord, multiplication de crues éclair et glissements de terrain, personne n’est épargné, l’Asie, l’Afrique, l’Europe et l’Amérique. Plusieurs grandes villes subissent des pertes importantes.
L’inactivité solaire inquiète; le cycle 24 était le plus faible en plus de 100 ans. Nous amorçons maintenant le cycle 25 qui devrait atteindre son apogée en 2025, il s’annonce aussi faible et, en convergence avec des regroupements d’activité volcanique, causerait un refroidissement extrême du climat global. Nous avons connu de tels refroidissements à quelques reprises; le minimum de Dalton, 1790 à 1820. Aussi le minimum de Maunder, de 1645 à 1715. Ces périodes s’accompagnent de productions agricoles médiocres, effondrement de l’économie et grandes pertes de vies. Combiné aux bouleversements climatiques actuels, le résultat pourrait être vraiment bizarre, imprévisible, des extrêmes super-amplifiés.
Des nations se divisent, guerres économiques et militarisation. Malgré un inquiétant bras de fer entre l’Amérique, la Chine et la Russie, les américains, sans engagement militaire, réussissent à calmer le jeu et éviter le pire.
La Covid toujours présente, continue de surprendre avec des effets à long termes ainsi que des mutations qui se révèlent difficiles à surmonter.
Un évènement choc en Italie fait la une des médias, la stabilité du pays est en jeu. L’Espagne et la Grèce interviennent.
En France, alors que des inondations cause du dégât, une manifestation
monstre dégénère au point de nécessiter l’intervention militaire pour reprendre
le contrôle, le gouvernement s’essouffle.
Multiplication de chutes d’oiseaux et banc de poissons morts, reliés à des variations locales du champ magnétique terrestre. Des mini-vortex magnétiques apparaissent et disparaissent un peu partout, phénomène annonciateur d’un déplacement des pôles.