Des scientifiques commencent à prédire un éclatement
du système durant la deuxième moitié du 21ième siècle, la fin du
monde tel que nous le connaissons.
Depuis quelques décennies, la communauté scientifique
constate une accélération d’évènements environnementaux. Elle est constamment en train de rapprocher les dates et prédictions d’épuisement et
dépassement du système. En bref, les choses se produisent plus rapidement que
prévu. La désertification, la fonte des glaciers, hausse des océans,
réchauffement climatiques, extrêmes climatiques, augmentation de la population
et consommation, destruction de l’écosystème, etc.
À chaque année, nous dépassons d’avantage les capacités
de production alimentaire de la planète en une année. « Le jour du dépassement ».
Depuis les années 60, on a commencé à dépasser la capacité globale annuelle. Le
point de bascule est imminent.
La fonte des glaciers s’accélère, en plus de provoquer
la hausse des océans, un milliard d’humains habitent dans des régions dont l’alimentation
en eau potable dépend de rivières glacières, la plupart seront complètement
asséchées d’ici 40 ans…
Les extrêmes climatiques s’intensifient continuellement, grandes variations de température, sécheresses, incendies, typhons, tornades, inondations, coupe à blanc de la forêt tropicale, etc.
Plusieurs entités gouvernementales et environnementales font constamment des descriptions de la dégradation des conditions de survie pour l’humanité. La dégradation est même mesurable, ce qui permet aujourd’hui d’en déterminer une finalité.
J’en suis arrivé à l’année 2065! Bref d’ici 2065, selon l’ensemble des prévisions, la terre ne supportera plus l’humanité, la fin du monde tel que nous le connaissons. Il ne s’agit pas d’une fin soudaine brusque et catastrophique, mais d’une dégradation continuelle et même exponentielle de notre biosphère sur les prochaines 40 années…
C’est surprenant comme dans ma jeunesse, la notion de
fin du monde était un concept nébuleux qui pourrait se produire dans des
milliers d’années. Alors qu’aujourd’hui, la fin est à nos portes!
À mon avis, la chance, la science et la technologie pourrait aider l’humanité à survivre. Et sûrement pas l’ensemble de la population. Il semble que nous avons succombé aux mécanismes d’autorégulation de la nature.
Cette année, 50 pays connaîtront des élections, ces dirigeants élus, nous permettrons-t ’ils de naviguer à travers cette méga-tempête ou, en seront-t ’ils les instruments?