D’un point de vue universel, la nature est dotée
de nombreux outils lui permettant de
maintenir l’équilibre de l’univers.
Sur terre, on parle de séismes, éruptions,
changements climatiques, épidémies, etc.
Fin 2010, la population globale dépasse 7 milliards, elle atteindra
9 milliards d’ici 2045. L’humanité marche présentement sur une corde raide, un coup de vent et c’est la
dégringolade. Plus la population augmente, plus la lutte contre les mécanismes d’autorégulation de la
nature s’intensifie. Tôt ou tard, la nature gagnera.
Nostradamus
a tendance à référer plusieurs évènements du future à une forme de
jugement.
Nostradamus C V- Q 32
Où tout bon
est, tout bien Soleil et Lune, (Là où les affaires
d’or et d’argent vont bien, les États-Unis)
Est abondant,
sa ruine s’approche : (au climax de l’abondance,
É-U leader du monde, au bord du gouffre)
Du Ciel
s’avance de vaner ta fortune (évènements naturels
provoquent l’effondrement du pays)
En mesme estat
que la septième roche. (sous la gouverne du
septième signe, l’équilibre sera rétabli)
Alors que les États-Unis atteignent le summum de la
concentration de la richesse et du niveau de vie, la nature vient brusquement
provoquer l’effondrement du pays, rétablir l’équilibre dans le monde …
Au point de vue biologique, la prédation
est un mécanisme naturel, un outil servant à maintenir l’équilibre et l’Ébola
est un de ces outils, tel un prédateur qui met à mort ses proies.
Un prédateur, étudie sa proie et utilise une
stratégie parfois complexe pour déterminer le moment et les conditions lui
procurant les meilleures probabilités de capturer et tuer sa proie. En d’autres mots, lorsque le prédateur lance
son attaque, il est trop tard pour la proie.
Il semble présentement que l’Ébola a lancé
son attaque, alors, il est trop tard pour nous…
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Richard Dion