lundi 13 avril 2020

Covid-19 n’est que le début



Lorsque j’ai vu la première image du Covid-19, cette boule hérissée de tentacules, j’ai eu un sentiment d’avoir vu des images étrangement semblables datant d’un lointain passé, comme ces pétroglyphes du centre de l’Inde.





L’étude des mythologies et des prophéties est aussi l’étude des cycles; ce qui est arrivé dans le passé arrivera encore dans le futur et même aujourd’hui. Les anciennes civilisations et les prophètes nous transmettent ces avertissements à travers siècles et millénaires.

Nostradamus, Q3.75
Pau, Veronne, Vincence, Saragousse,
De glaiues loings, terroirs de sang humides :
Peste si grande viendra à la grande gousse
Proches secours & bien loings les remedes.

La France, l’Italie et l’Espagne,
Souffrent d’une épidémie sanguinaire et répandue (Covid-19)
Cette épidémie s’étendra aux USA (grande gousse)
Malgré les secours, un vaccin arrive trop tard


Cette malheureuse pandémie qui nous afflige risque d’être accompagnée d’autres catastrophes se produisant en parallèle.  

 En effet, les prophéties annoncent rarement une seule catastrophe, plutôt une convergence de catastrophes aux conséquences destructrices cumulatives.

Épidémies, famine, séismes, extrêmes climatiques et guerre sont souvent associés dans plusieurs prophéties de toutes origines, certaines parlent de puanteur, annonciatrice d’épidémie.

Luc 21 :11
 " il y aura de grands tremblements de terre, et, en divers lieux, des pestes et des famines; il y aura des phénomènes terribles, et de grands signes dans le ciel. "

Nostradamus Q 1.55
Soubs l'opposite climat Babilonique, (changement climatique subit et mondial)
Grande sera de sang effusion, (beaucoup de destruction)
Que terre & mer, air, ciel sera inique, (les éléments ne respecteront pas l’ordre habituel)
Sectes, faim, regnes pestes, confusion. (isolation des peuples en tribus, malnutrition, maladies et confusion)

Un changement subit du climat causera beaucoup de destruction, les éléments seront déchaînés, grande perte de vies humaines, l’humanité survivra en petits regroupements isolés et avec peu de ressources.

L'année sans été, en 1816, a eu lieu durant le minimum de Dalton, causé par une convergence d’éruptions volcaniques en Indonésie et activité solaire faible (comme c’est le cas présentement). Les perturbations climatiques inhabituelles de 1816 eurent des effets catastrophiques en Amérique, en mai, le gel détruisit la plupart des récoltes et en juin deux grands blizzards. Crise alimentaire en Europe, émeutes de subsistance en Grande-Bretagne et en France, en Suisse, la famine. Des tempêtes d'une rare violence, gel en août 1816.

Johannes Friede (1204-1257)
"…étonnants changements dans la nature. Les amplitudes entre le froid et la chaleur deviendront plus intenses, les tempêtes auront plus d'effets catastrophiques, les tremblements de terre détruiront de grandes régions et les mers déborderont sur de nombreuses de terres basses. "


Il se pourrait bien que l’on assiste à d’autres catastrophes d’envergures dans les prochaines semaines et mois et ce, en pleine pandémie Covid-19.

Souhaitons que ce ne sera pas le cas cependant, vaut mieux être aux aguets…

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Richard Dion