Des dates qui en disent long…
James Ussher archevêque anglican d’Armagh, primat d’Irlande entre 1625 et 1656 a publié une chronologie situant le début de la création du monde à la nuit précédant le dimanche 23 octobre 4004 avant Jésus Christ. En d’autres mots, selon cette interprétation stricte de la Bible, le monde aura 6015 ans, dimanche le 23 octobre 2011.
Bien entendu, nous savons aujourd’hui, grâce à la science, que cette chronologie est farfelue, l’âge de la terre est estimé à plus de 4 milliards d’années. Cependant, un mystère subsiste.
Andrew Parker, un zoologiste de renommée mondiale vivant au Royaume Uni, a, depuis quelques années, émis l’hypothèse que le premier chapitre de la Genèse décrivant la création du monde et de la vie, respecte l’ordre exacte de l’évolution de la vie, ce que la science nous permet, aujourd’hui, de constater, grâce à des études, biologiques, archéologiques, historiques et géologiques. Bref, des Israélites vivant dans le désert, avec aucune technologie ni science, ont, il y a 4000 ans, écrit la Genèse, sans respecter la durée réelle mais l’ordre exacte de l’apparition du sol, l’eau, les plantes, les premières formes de vies aquatiques et terrestres, même l’apparition des premiers humanoïdes. Cela présuppose que ces Israélites ont eu accès à des connaissances scientifiques équivalentes à celles que nous possédons aujourd’hui.
Avec la fin de leur calendrier au compte Long en 2012, les anciens mayas pointant vers l'alignement de la pointe du solstice, le point central du Soleil vu de la terre, aligné au centre de notre galaxie, qui se produit qu'une seule fois tous les 26 000 ans. Comment un peuple qui sortait de l’âge de pierre a-t-il pu déterminer, il y a 3000 ans, un évènement que nous ne pouvons confirmer qu’avec l’assistance de puissants télescopes et ordinateurs? Et alors que Copernic se débattait dans l’eau bouillante, il n’y a que 500 ans, pour démontrer que la terre n’est pas immobile et au centre de l’Univers!
John Major Jenkins, auteur américain et chercheur indépendant, connu pour ses travaux sur certaines connexions astronomiques et ésotériques des calendriers utilisés par la civilisation Maya, prétend que les Mayas se sont consacrés à l`observation du ciel à l’œil nu pendant une durée de plusieurs vies humaines pour élaborer leurs calendriers. Personnellement je doute fort que des personnes dont la majeure partie de leur temps devait être dévoué aux activités de survie et qui utilisaient de l’écorce et de la pierre pour inscrire des symboles, aient eu des astrologues et des mathématiciens dévoués pendant des vies entières… Les mayas ont probablement relayé de l’information astronomique provenant d’une autre source et non de leur invention.
Certains égyptologues ( Selim Hassan) ou archéo-astronomes (Robert Bauval) proposent une théorie selon laquelle il existerait une corrélation entre la position et l'orientation des pyramides de Gizeh et la position des étoiles et notamment de la constellation d'Orion. Suggérant une connaissance de l’astronomie difficile à croire considérant que l’observation du ciel devait se faire à l’œil nu et que les Égyptiens de l’époque portaient leur attention sur des astres de loin plus visibles tel que le soleil!
Je ne vois pas pourquoi un intérêt des Égyptiens sur la constellation d’Orion dont la configuration n’est pas évidente à percevoir dans un vaste ciel étoilé. À moins qu’une connaissance particulière de l’astronomie ait été transmise aux Égyptiens démontrant la configuration précise de cette constellation, un intérêt particulier pour cette partie de l’espace...
L’Atlantide de Platon, considérée un mythe, aurait sombrée «…Dans l'espace d'un seul jour et d'une nuit terribles…».
Par des récits anciens, mythes, traditions, croyances et coutumes, nous recevons aujourd’hui, un message que, grâce à notre science et technologie, nous seul pouvons comprendre. Des bribes de connaissances scientifiques dispersées un peu partout sur le globe, provenant d’une ancienne civilisation aussi évoluée technologiquement que la nôtre, ayant existée il y a plus de 10000 ans. Une sorte de capsule temporelle contenant un message des anciens.
Ce message des anciens est: nous n’avons pas survécus!
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Richard Dion